Une des meilleures façons d’obtenir un bon équilibre de composition et de mise en page est d’utiliser la règle des tiers. En divisant la page en tiers verticalement et horizontalement, les points où les lignes de la grille se croisent fournissent les points important de la composition.
« Mort d’un soldat républicain » (intitulé aussi « Mort d’un milicien« ), Robert Capa, 1936.(suite…)
Il est rare de composer un contenu de qualité dès le premier jet. Plusieurs étapes participent de la réussite d’un article : la connaissance de son audience, la définition d’un sujet original, la recherche d’informations mais également leur vérification, la rédaction et surtout la relecture.
Il est impossible de rédiger un contenu pertinent et convaincant si on ne sait pas à qui l’on s’adresse.
Avant de rédiger tout contenu, il faut en définir le sujet (de quoi parler) et surtout l’angle (comment en parler). Mais la première question à se poser revient à déterminer la valeur ajoutée de son article par rapport à (tout) ce qui déjà été publié.
Définir un angle revient à poser une question principale.
Préalable à tout travail de collecte d’informations, la définition de l’angle permet de sélectionner les informations les plus pertinentes et se résume à trois choix : un point de vue original, un traitement efficace et un sujet « faisable ».
Doit-on écrire pour les robots de Google ou les lecteurs et lectrices de ses contenus ? Peut-on rédiger un article qui puisse plaire aux deux ? Ne faut-il pas, au final, écrire pour des humains plutôt que des robots ? Eléments de réponse.
N’ayez pas que les robots en tête à l’heure de la rédaction. Pensez à votre lecteur.
« Fini le temps où il fallait bourrer vos billets de mots-clés pour attirer l’attention de Google. Ses robots sont de plus en plus intelligents ». Rédacteur montréalais de contenu, Charles Saliba-Couture souligne même combien les robots, dorénavant, « aiment les textes écrits naturellement, la richesse sémantique et plein d’autres belles choses ».
On pourrait alors croire que les robots passent au second plan pour laisser l’avant-scène aux humain.e.s. « Mais très souvent, ce n’est pas exactement ça qu’il se passe », prévient le rédacteur, spécialisé en causes sociales.
Quels rôles, au sens large, la presse a-t-elle joué par le passé dans nos sociétés ? Quel rôles peut-elle légitiment prétendre occuper aujourd’hui ? Quelle est l’importance de ce rôle, à supposer que nos sociétés lui l’accorde ? De quel crédit jouit-elle auprès des communautés de lecteurs qui se réduisent peu à peu, mais avec régularité et de manière inexorable ?
En France, comme dans un grand nombre de pays, la presse écrite est un secteur d’activité vulnérable. Ce « média », support de diffusion de l’information, entre concurrence frontale avec Internet, directe avec la radio et la télévision. Elle est considérée en danger – et le danger est réel – dans la forme qu’elle-même a peu à peu mis au point.