Doit-on écrire pour les robots de Google ou les lecteurs et lectrices de ses contenus ? Peut-on rédiger un article qui puisse plaire aux deux ? Ne faut-il pas, au final, écrire pour des humains plutôt que des robots ? Eléments de réponse.

« Fini le temps où il fallait bourrer vos billets de mots-clés pour attirer l’attention de Google. Ses robots sont de plus en plus intelligents ». Rédacteur montréalais de contenu, Charles Saliba-Couture souligne même combien les robots, dorénavant, « aiment les textes écrits naturellement, la richesse sémantique et plein d’autres belles choses ».
On pourrait alors croire que les robots passent au second plan pour laisser l’avant-scène aux humain.e.s. « Mais très souvent, ce n’est pas exactement ça qu’il se passe », prévient le rédacteur, spécialisé en causes sociales.
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