typographie

« Un caractère est né » : le corpus typographique français

Illustration de la création typographique, le Corpus typographique français recense les polices de caractères dessinées en France de depuis la moitié du XIXe siècle à nos jours. Si le corpus contient des créations de haute volée, il comporte aussi « des caractères médiocres, voire mauvais, car l’histoire de la typographie en comporte également ».

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Petit précis de mise en page

La mise en page consiste à organiser les éléments graphiques d’un document afin de faciliter la compréhension des informations par le lecteur. Lors de son élaboration, le choix des variantes (les éléments graphiques), tels que les images, les couleurs, les espaces, les contrastes, les ombrages, ainsi que les polices de caractères entrent en ligne de compte.

Les règles qui s’appliquent dans la mise en page sont celles de la composition picturale et architecturale.

Mettre en page, c’est mettre en valeur la production rédactionnelle. Les règles qui s’appliquent sont celles de la composition picturale. Chaque page du journal doit être conçue comme un tableau : il s’agit d’assembler, autour d’un motif principal, des motifs secondaires hiérarchisés. L’ensemble doit être clair, lisible et esthétique. Au final, l’assemblage minutieux de l’amalgame d’éléments graphiques permet un résultat optimisé pour un résultat convaincant et efficace auprès de l’audience cible.

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[RESSOURCE] Ortho ? Typo !

Epreuve de correction

Epreuve de correction

Ce nouvel article ne saurait tolérer l’absence d’application d’un bon code typo. L’orthotypographie, ce n’est pas un mot grossier, barbare et impossible à orthographier. Allez, on va ctrl+c, ctrl+v Wikipedia, pour voir si déjà tout le monde s’y retrouve.

« L’orthotypographie est l’ensemble des règles qui permettent d’écrire de façon correcte, selon une norme établie, à l’aide de types (caractères). C’est donc l’ensemble des règles de l’orthographe des mots et des règles typographiques (utilisation des majuscules et des minuscules, des espacements, de la ponctuation, de l’italique, etc.).

Le terme semble être apparu en 1608 et désignait alors un document destiné aux correcteurs ou à ceux qui vont publier leurs écrits. Pour Jean Méron, le terme excluait donc toute référence à la simple rédaction manuscrite. La notion a été reprise par Nina Catach (« orthographe typographique ») qui s’était intéressée également à la ponctuation comme à ce qu’elle nommait « la mise en page ». Jean-Pierre Lacroux revendique le mot-valise avec un sens distinct de celui évoqué par Méron : tout ce qui concerne « l’armada des prescriptions à la fois orthographiques et typographiques ; par exemple, celles qui concernent l’écriture des titres d’œuvres ». »

Cette précision historique mise à part, allez cliquer de ce coté-ci et de ce côté-là. De nouveaux livres pour la bible.